Promenades dans et autour de Lons le saunier
le premier nom de la ville à l’époque gallo-romaine était Ledo salinarius car Lons possédait déjà des salines
qui étaient exploitées. Mais le nom de Lons provient de la source qui traverse la ville, la Lédonia qui permettra
à la ville de se faire connaître pour son centre thermal.
Visiter le vieux Lons avec ses portes magnifiques, ses maisons aux sculptures innombrables, ses gargouilles, l’Eglise des Cordeliers (érigée au XIIIème siècle), la fontaine aux dauphins, la Maison natale de Rouget de Lisle, la Place de la Liberté, la rue des Arcades, la Place de la Comédie, la statue du Général Lecourbe, le magnifique Hôtel de Ville, le non moins magnifique Hôtel Dieu (où on peut visiter l’apothicairerie .avec un décor d’époque, un parquet en bois et d(‘innombrables armoires vitrées contenant les flacons en porcelaine renfermant des médicaments de toutes sortes, allant de l’arsenic (dite « eau de longue vie ») à l’extrait de la corne de cerf, réputé aphrodisiaque)...
..nous entraîne dans toute l'histoire de son riche passé...
Ses fontaines
La fontaine au cygne
La fontaine aux dauphins
La fontaine aux bains
Parc des Bains
La fontaine aux lions
la fontaine de Vénus
Le Puits Salé
C’est le site primitif de la ville, là où, vraisemblablement, les premiers Lédoniens élirent domicile, en raison de la proximité d’une source salée qui fut, pendant longtemps, une origine de revenus importante pour la ville. Si l’on ne produit plus de sel à Lons-le-Saunier depuis 1966, les eaux salifères sont toujours exploitées dans le cadre de l’activité thermale (et une canalisation souterraine relie le Puits Salé aux Thermes Lédonia).
les fontaines à Jets
Ses vieilles portes et sculptures
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Ses Façades
Ses Places
Place de la Liberté
C’est incontestablement, depuis la destruction des remparts, le coeur de la ville. La place occupe en effet l’emplacement
des anciens fossés qui, comblés, ont dégagé un grand espace d’une forme particulière (un rectangle presque parfait). Elle concentre aujourd’hui toutes les activités et principalement l’activité commerciale.
La Ville de Lons-le-Saunier a entièrement rénové la Place de la Liberté (sol, éclairages, fontaine et jets d’eau, mobilier
urbain), et construit un parking couvert, pour la rendre plus belle, plus attractive. Elle accueille des animations et des concerts.
Place Bichat
Place de la Comédie
Place du commerce
Place du 11 Novembre
Ses arcades
Ses églises
Eglise des cordeliers
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Eglise saint Désiré
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Ses statues
Rouget de l'Isle
Claude Joseph Rouget dit de Lisle1, souvent appelé Rouget de l'Isle, était un officier français du Génie, poète et auteur dramatique, né le 10 mai 1760 à Lons-le-Saunier, et mort le 26 juin 1836 à Choisy-le-Roi. Il est l'auteur de La Marseillaise
En 1792, à la suite de la déclaration de guerre du Roi à l'Autriche, un officier français en poste à Strasbourg, Rouget de Lisle compose, dans la nuit du 25 au 26 avril, chez Dietrich, le maire de la ville, le "Chant de guerre pour l'armée du Rhin".
Ce chant est repris par les fédérés de Marseille participant à l'insurrection des Tuileries le 10 août 1792. Son succès est tel qu'il est déclaré chant national le 14 juillet 1795.
- En 1936, un timbre de 20 centimes vert est émis. Il représente la statue de Rouget de Lisle à Lons-le-Saunier. Il est le premier à avoir fait l'objet d'une vente anticipée le 27 juin 1936, à Lons-le-Saunier. Il porte le n° YT 314.
- En 2006, c'est un timbre de 0,53 euro multicolore qui est émis. Il représente « Rouget de Lisle chantant la Marseillaise » d'après le tableau d'Isidore Pils avec à gauche le village de Montaigu et à droite la ville de Lons-le-Saunier. Il a bénéficié de deux cachets 1er jour, un à Paris le 13 juillet et un second à Lons-le Saunier le 14 juillet. Il porte le n° YT 393910.
General Lecourbe
Ses Monuments
Beffroi,Tour de l'horloge
Hôtel de ville
Hôtel Dieu
Théâtre
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Conseil Général
Préfecture
Musée des Beaux arts
Gare
Etablissement thermal Ledonia
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Les salines de Lons-le-Saunier sont d'anciennes salines / sauneries (production industrielle de sel, « or blanc » ou sel gemme / halite), à l'origine de la ville de Lons-le-Saunier (Ledo salinarius, « ville du sel » en latin) au Néolithique, Elles sont avec les salines de Salins-les-Bains parmi les plus anciennes connues, en activité depuis environ 6000 ans jusqu'en 1968 (voir histoire du sel du Jura).Exploité par les hommes de l'age de la pierre polie, par les celtes, gaulois et les gallo-romains, ayant connu son apogée au XIIe siècle, incendié et abandonné au XIVe siècle, le puits-salé est à l'origine de la ville de Lons-le-Saunier ».
Lons-le-Saunier possède trois sources d'eau salée / saumure de chlorure de sodium : Lédonia, Chavenay et Naparix, dues aux gisements de sel gemme du trias supérieur (215 millions d'années), situés en bordure des premiers contreforts du massif du Jura et remontés vers la surface suite à la formation de ce dernier par la compression / plissement exercée par les Alpes vers l'ouest au priabonien il y a 35 millions d'année.
En 1892 la cité du sel se convertit en ville thermale avec l’établissement des thermes Lédonia qui exploite la source Lédonia (une canalisation souterraine relie les termes au puits-salé).
Mais des édifices modernes ont eux aussi leur place dans ce bel ensemble:
Le centre culturel
C’est le 28 Novembre 2012 que le centre culturel de Lons le Saunier a été inauguré. Un vaste programme qui comprend une bibliothèque, une médiathèque et une salle de cinéma. Le bâtiment a pris place en plein cœur d’un tissu urbain dense et caractérisé par trois édifices déjà existants : l’église, l’hôtel de Belay et la maison d’arrêt.
La nouvelle construction suit cette lignée simple et minérale qui détermine les projets environnants tout en se détachant de l’ensemble par ses traits fluides qui constituent un lien naturel entre le prolongement de la nouvelle place centrale, la rue avoisinante et l’église.
Respectueux de son environnement, le projet se caractérise par les ouvertures de la façade courbe qui procurent une grande luminosité à son intérieur sobre et épuré où par moments quelques éléments en bois donnent une fine note de couleur à la blancheur immaculée des murs.
Le nouveau centre culturel de Lons le Saunier est une originalité à découvrir…
Une mention spéciale pour ...... la vache qui rit!
beaucoup de copies et contrefaçons!!!
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le tout récent musée « La Maison de la Vache qui Rit ». permet de découvrir l’origine de ce fromage célèbre : Léon BEL reprend en 1921 l’idée de Benjamin RABIER né à La roche sur yon)qui avait créé plus tôt l’affiche d’un fromage intitulé « La Wachkyrie » pour faire pendant aux chevauchées des célèbres « Walkiries » allemandes. Outre la fabrication (ancienne et nouvelle) du célèbre fromage fondu , le musée retrace toute l’épopée publicitaire de ce fromage, les étiquettes des contrefaçons : « la vache sérieuse », « la vache Grosjean », « la bonne vache », « la vache du Jura », « la vache heureuse », « le camembert St-Hubert », « la vache qui parle », « la vache qui lit », « la vache qui rue », « le veau qui pleure », « la vache moderne » « la vache Kiki ». Actuellement l’entreprise produit environ 20 tonnes de fromage par jour, elle comporte 12 sites de production (au Canada, aux USA, en France, en Espagne, en Slovaquie, en Ukraine, en Algérie, au Maroc, en Egypte, en Turquie, en Syrie, en Iran). Le musée souligne toutes les campagnes de communication avec les différentes affiches réalisées. Le musée rappelle aussi toutes les différentes marques de fromages commercialisées par Bel : Mère Picon, Kiri, Apéricube avec différents parfums suivant les pays, Boursin, Leerdammer, Babybel, Bonbel , Cantadou, Gervais, Picon, Port Salut, etc. |
L'usine
les environs ne sont pas moins intéressants..
paysages et monuments..